Le mois de mars, c'est le mois des fous. Allez comprendre !
C'est aussi, le 8 mars , la journée des femmes, en France.
Comment se fait-il qu'une société
républicaine, un état démocratique, un pays laïque
occidental... en soit réduit à célébrer, pour
un jour par an, la moitié de sa population ?
Pourquoi est-il besoin de distinguer cette statistique ?
Constatation soudaine ou prise de conscience de la fin du XXème siècle
?
La France, pays développé inscrit dans une société
de consommation progressiste, économiquement élevé, doté
d'un patrimoine culturel et d'une histoire singulièrement riches...
pays des libertés et des droits de l'homme, terre d'asile... rend hommage,
offciellement depuis deux décennie, à ses femmes, ses mères,
ses salariées, ses cadres, ses artistes, ses élues... normal
!
Mais pourquoi encore devoir faire remarquer à la population ce détail
puisque la femme a sa place méritée, juste et intêressante...
la femme est désormais un homme comme les autres.
Après avoir participé et
motivé la libération (sexuelle et politique !) des années
60'/70', les femmes, en minoritét farouchement anti-homme ou lesbiennes,
mais rebelles et insoumises, se sont immiscées dans la vie professionnelle
des français, elles occupent des postes clefs et se mêlent à
la vie culturelle, socio-économique, associative et politique du pays...
Normal !
Et le pays s'en porte plutôt bien, les hommes s'en félicitent
et en récoltent les fruits. L'émancipation de la femme n'est
pas pour leur déplaire, même les machos y ont trouvé des
avantages et des satisfactions !
Alors, que se passe-t-il dans les cités ? à deux pas des foyers mixtes et paritaires de nos concitoyens, il y a des familles où la misogynie règne :
Pourquoi des milliers de jeunes filles,
nées en France, doivent-elles subir, quotidiennement, les insultes,
le mépris, la violence, l'oppression, la haine de jeunes hommes, nés
en France, incapables de dissocier une partie de leurs traditions religieuses
avec la lâcheté, l'irresponsabilité, la folie dont ils
font preuve.
Les tournantes, les viols répétitifs, les passages à
tabac, les harcèlements... sont l'oeuvre de garçons livrés
à leur incapacité, à leur bestialité...
aux yeux de leurs ainés tout aussi méprisables et immatures.
Comment peut-on tolérer de telles
injustices, de telles aberrations ?
Comment aider les filles des cités à s'affranchir des traditions familiales
sans trahir leurs racines ?
Doit-on admettre la banalisation
du sexisme, en France aussi ?
Comment nous donner les moyens de briser la loi du silence, sans générer
des conflits politico-culturels ?
Comment peut-on expliquer l'ampleur grandissante de ce phénomène
?
Cette régression de l'humanité est une alerte, l'espèce courre à sa perte.
Ces jeunes hommes volent les excuses et commettent volontairement l'erreur d'une mauvaise interprétation des textes islamiques. Et ainsi, ils s'éloignent, chaque jour un peu plus, des valeurs de leur religion.
Il suffit, objectivement, de constater
l'état pitoyable des pays gouvernés dans l'optique d'esclavagisme
et d'humiliation de la femme, la mère.
Comparer seulement avec les sociétés respectueuses, puritaines
ou libertaires, économiquement et moralement confortables.
Il est déjà des combats ancestraux et quasi-inévitables : le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie... Toute différence et chaque nuance !
Comment est-il possible de contester le
fait, originel et indispensable :
il y a des hommes, il y a des femmes, c'est l'histoire de notre espèce.
C'est l'histoire de l'humanité toute entière, de la vie sur
terre :
il y des Y et des X, c'est scientifiquement irrévocable.
Et au XXIème siècle, dans
les nouvelles zones de non-droit, ces frères qui interdisent à
leurs soeurs (cadettes ou ainées) de sortir, se s'habiller et d'être
seulement et naturellement féminines..., couverts sous le prétexe,
ridiculeusement injustifié, de les protéger des hommes.
Les protéger de quels hommes ?
D'eux-même, hommes avides de sexe sans amour, auto-contraints d'user
de la facilité, de la force, de la sauvagerie, parce qu'ils sont frustrés.
Ils s'imposent, eux-même, un environnement restrictif et pudique à
outrance.
Les filles seraient alors plus en sécurité, protégées...
par leurs agresseurs ?
Certaines, menacées, opprimées, victimes de représailles,
sont contraintes de se métamorphoser pour survivre, éviter la
délation. Elles se comportent comme les garçons et apprennent à se
battre pour se faire respecter... cherchent à cacher leur féminité,
oublier leur destin, elles savent qu'elles ont perdu leur dignité et
leur liberté.
Comme tout homme, créature de dieu
et concentré hormonal, ces frères désirent la beauté,
la grâce et la sensualité d'une femme, de la femme,
mais ils s'en privent officiellement, au nom d'allah, pour mieux en abuser
dans la violence et la terreur.
Ils s'interdisent le plaisir naturel et
biologique d'aimer les femmes, s'en refusent l'accés mais, paroxisme
irrationnel et horrible, se vengent de leur propre frustration physique et
mentale sur ces mêmes femmes, doublement victimes. A
la fois objets de leur désir et motifs de leur colère.
C'est un raisonnement incompréhensible et inadmissible.
Ces imbéciles, illogiques et peu ambitieux, paresseux et maladroits, ne font pas preuve d'égoïsme mais de lâcheté en leur refusant aussi le droit à l'éducation scolaire, à l'apprentissage professionnel, c'est une manière de les réduire au silence, de les diminuer encore, de les affaiblir... de les tenir.
Pour eux, elles sont la cause consciente
de tous leurs actes répréhensibles.
Elles passent et il se sentent provoqués : ce sont des faibles.
Pour les femmes des cités, le simple fait d'exister, exite les hommes.
Ils devraient les supprimer toutes, ils ne seraient plus tentés.
Mais ils n'auraient plus de proie à pourchasser.
Bien qu'il n'y en ait pas un pour comprendre
et admettre que sans les femmes, ils n'existeraient pas, il est impensable
de ne pas l'espérer.
Envisager, à la nuit des temps, et appliquer, aujourd'hui, l'aliénation
des femmes cela revient à renverser volontairement son ultime verre
d'eau, au milieu du désert.
A Sohane, 17 ans, insultée, humiliée,
harcelée, sequestrée, violée, battue... et brulée
vive... dans un local à poubelle...
en plein jour, ses cris et ses pleurs à peine étouffés...
salie puis éliminée par ses agresseurs...
trahie par une population involontairement ou naïvement complice...
à 20 kms des Champs-Elysées, en mai 2002..
La loi salique ne justifie pas le meurtre,
ici ou ailleurs.
La France ne doit plus tolérer ce genre de délinquance.
Cet acte est le reflet de la métamorphose de la société
française, des 20 dernières années.
C'est la conséquence de l'accumulation de trop d'erreurs, de passivité
et d'exclusions.
Ce délit doit être traité avec fermeté, au regard
de la loi et de la moralité...
quels qu'en soient les protagonsites, leurs origines et leurs religions.
quelles qu'en soient ambitions politiques, les pressions diplomatiques internationales...
La justice et les intellectuels ne doivent plus atténuer le phénomène,
les hommes de loi ne doivent plus craindre de faire appliquer les sentences,
redoutant mauvaise presse ou échec électoral. Ils sont assermentés
et ont le devoir de protéger la société.
Ils doivent conserver leur autorité, demeurer justes et neutres, dans
un soucis d'équité.
L'exemple est à donner aux générations en cours et doit
passer par le respect collectif des lois et des citoyens, convaincre les "héritiers
de la haine" de s'unir, de s'aimer.
C'est surtout par l'émancipation
de la femme, dans les milieux associatifs et scolaires que l'on engendrera
une nouvelle population intégrée, mixte et égalitaire.
Et pourtant...
Les hommes et les femmes ne sont pas égaux, ils sont différents...
complémentaires.
Il est plus logique, juste et respectueux d'établir une société
paritaire, représentative des statistiques et études démographiques.
Même si chacun se plait à
remarquer, d'un ton sarcastique, une femme au volant d'un camion ou un homme
des aiguilles à la main. Il
n'en demeure pas moins vrai que physiologiquement, il y a des aptitudes, des
missions, plus ou moins évidentes pour l'un des deux sexes.
Les droits des femmes en France :
chronologie
Mais la liberté doit demeurer
la notion fondamentale de chaque être humain.
Les Femmes dans le Monde : constat
C'est l'histoire de l'humanité
toute entière, de la vie sur terre :
la complémentarité dans l'opposition, le positif et le négatif,
le jour et la nuit, le yin et le yang... et il y des Y et des X.
Les hommes et les femmes :
dossier
Les femmes, multifonctionnelles, sont polyvalentes en permanence, sensorielles
et altruistes.
Les hommes, monoactifs, sont persévérants, concentrés
et égoïstes.
Ce sont ces performances, ces compétances, ces capacités de
chacun qui offrent les meilleurs résultats pour tous.